Discours de haine, Bemba sur le gril

Une forte pluie d’indignations tombe sur le vice-premier ministre en charge des Transports, Jean-Pierre Bemba Gombo, à cause de ses discours séparatistes, haineux, xénophobes, qui ne favorisent pas l’unité et la cohésion nationales dont le Président de la République et le pays entier ont besoin pour faire face à la guerre d’agression rwandaise. En cette période où la République Démocratique du Congo est menacée, les RD-Congolais ont l’obligation de travailler à l’unisson, de former un bloc pour défendre le pays face aux agresseurs. Pendant que toute la République cherche à chanter cohésion nationale, quelle a été la surprise de voir Jean-Pierre Bemba sortir son refrain qui frise la haine, la division, la xénophobie comme pour barrer la route à l’unité nationale.
À cause de ces propos discriminatoires, l’ancien chef rebelle et ex-vice président de la République est sur le gril. Dans une saisine au Procureur général près la Cour de cassation, le Panel d’experts de la Société civile prend ses responsabilités, évoque la ligne rouge et dénonce le discours d’incitation à la haine propagé par le vice-premier ministre Jean-Pierre Bemba dans toutes ses sorties publiques et meetings populaires en provinces comme dans différents coins de la ville de Kinshasa y compris dans les sites universitaires.
Au Procureur général près la Cour de cassation, le Panel d’experts de la société civile démontre clairement: «Monsieur Jean-Pierre Bemba a franchi la ligne rouge de la haine et de la diabolisation en affirmant selon ses propres termes que: les équatoriens étaient considérés comme des sous-hommes pourtant le code 32 en référence à la durée du régime du Président Mobutu et devaient être écartés de la vie publique par le pouvoir venu de l’Est au profit de Baswahili d’une part, et d’autre part, il s’arroge les prérogatives d’attribution de la nationalité étrangère -Rwandaise- à certains Congolais tel est le cas du Président honoraire, Joseph Kabila Kabange, et de retrait de celle-ci à d’autres compatriotes selon sa propre volonté».
Pour le panel d’experts de la Société civile, les déclarations de Jean-Pierre Bemba de vouloir opposer les Swahili aux Bangala sont susceptibles d’être qualifiées de belliqueusesFace au discours de haine propagé par Jean-Pierre Bemba.
Le panel d’experts de la société civile saisit le PG de la Cour de cassation
Une forte pluie d’indignations tombe sur le vice-premier ministre en charge des Transports, Jean-Pierre Bemba Gombo à cause de ses discours séparatistes, haineux, xénophobes et qui ne convergent pas vers l’unité et la cohésion nationales dont le Président de la République a besoin pour faire face à la guerre d’agression rwandaise. En cette période où le pays est menacé, les rd-congolais ont de travailler à l’unisson, de former un bloc pour défendre le pays face aux agresseurs.
Pendant que toute la République cherche à chanter cohésion nationale, quelle a été la surprise de voir Jean-Pierre Bemba sortir son refrain qui frise la haine, la division, la xénophobie comme pour barrer la route à l’unité nationale. C’est ainsi que dans une saisine au Procureur général près la Cour de cassation, le Panel d’experts de la société civile a dénoncé le discours d’incitation à la haine propagé par le vice-premier ministre Jean-Pierre Bemba dans toutes ses sorties publiques et meetings populaires en provinces comme dans différents coins de la ville de Kinshasa y compris dans les sites universitaires.
Au Procureur général près la Cour de cassation, le Panel d’experts de la société civile a clairement démontré: “Monsieur Jean-Pierre Bemba a franchi la ligne rouge de la haine et de la diabolisation en affirmant selon ses propres termes que : les équatoriens étaient considérés comme des sous-hommes pourtant le code 32 en référence à la durée du régime du Président Mobutu et devaient être écartés de la vie publique par le pouvoir venu de Est au profit de Baswahili d’une part, et d’autre part, il s’arroge les prérogatives d’attribution de la nationalité étrangère (Rwandaise) à certains Congolais tel est le cas du Président honoraire, Joseph Kabila Kabange, et de retrait de celle-ci à d’autres compatriotes selon sa propre volonté“.
Pour le panel d’experts de la société civile, les déclarations de Jean-Pierre Bemba de vouloir opposer les Swahili aux Bangala sont susceptibles d’être qualifiées de belliqueuses, négationnistes, divionnistes, irresponsables et dangereuses contre la cohésion nationale déjà en berne avec les affrontements inter-ethniques à Kwamouth, en Ituri, la guerre au Nord-Kivu et dans le Sud-Kivu sans oublier les tensions politiques actuelles.
En s’adressant au Procureur général près la Cour de cassation, le panel d’experts de la Société civile veut démontrer que ces déclarations sont punissables par la législation RD-congolaise. «Monsieur le Procureur général, il est à craindre, cependant que ces discours de haine n’incitent à la violence, ne sapent les efforts de la cohésion nationale et n’affectent non seulement pas les personnes visées mais aussi et surtout toute la nation Congolaise», alerte la panel d’experts de la Société civile qui rappelle que de tels discours sont en principe réprimés par le droit positif Congolais non seulement par la Constitution mais aussi par l’ordonnance-loi n° 66-342 du 7 juin 1966.
Dans cette saisine signée par Dieudonné Mushagalusha, Coordonnateur du panel d’experts de la Société civile, l’on rappelle que c’est sur le fondement de telles déclarations que le pasteur Daniel Ngoy Mulunda avait été condamné à 3 ans de SPP à Lubumbashi au mois de janvier 2021. Le Procureur général près la Cour de cassation est donc invité à se saisir du dossier pour stopper les fléaux de la division, de xénophobie, de diabolisation contenus dans des discours dénoncés par la société civile.
Lire la correspondance du panel d’experts de la société civile, négationnistes, divionnistes, irresponsables et dangereuses contre la cohésion nationale déjà en berne avec les affrontements inter-ethniques à Kwamouth, en Ituri, la guerre au Nord-Kivu et dans le Sud-Kivu sans oublier les tensions politiques actuelles. En s’adressant au Procureur général près la Cour de cassation, le panel d’experts de la société civile a voulu démontrer que ces déclarations sont punissables par la législation RD-congolaise.
Par https://www.africanewsrdc.net/actu/discours-de-haine-bemba-sur-le-gril/