Dette et conditionnalités du FMI au Congo : Vers une énième servitude volontaire?
Dette publique et conditionnalités du FMI au Congo : Vers une énième servitude volontaire à l’ordre néolibéral ?
Le 05 juillet 2021, le président de la République Démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi a procédé à la désignation de nouveaux mandataires de la Banque Centrale du Congo, B.C.C. en sigles, à travers les ordonnances présidentielles lues à la chaine de télévision nationale le même jour. À l’occasion, madame Malangu Kabedi Mbuyi a été désignée comme nouvelle Gouverneure de la Banque centrale du Congo[1]. La nomination de cette brillante économiste carriériste du Fonds Monétaire International[2], la soixantaine, a été accueillie avec joie dans l’opinion publique nationale notamment autour de trois grandes réactions majeures glanées dans les réseaux sociaux. Tout d’abord, les réactions saluent l’élévation d’une femme à un poste public de grande importance pour la première fois dans l’histoire politique de la République Démocratique du Congo, témoignant ainsi d’une volonté politique grandissante dans la responsabilisation de la femme dans la vie politique congolaise. Ensuite, les réactions saluent, à juste titre son parcours impressionnant, témoignant d’une longue expérience internationale de 32 ans au sein du Fonds Monétaire International en plus de nombreuses qualités professionnelles. Enfin, les réactions saluent l’avènement d’un jour nouveau dans la direction de la Banque Centrale du Congo où l’ancienne équipe dirigeante semblait inefficace vis-à-vis de la dépréciation du franc congolais dont le taux en parité au dollar ne cessait de grimper au-delà de nombreux scandales publics rapportés dans la gestion de cette Banque de plus en plus défaillante dans ses missions légales et règlementaires.
Face à ces diverses réactions dominantes, nous aimerions aller au-delà des discours officiels et textuels afin de sonder le contexte permettant des non-dits. Ainsi, nous nous proposons de requestionner les vrais enjeux politiques en présence en analysant le contexte général ayant motivé ce brusque changement dans la gestion de la Banque centrale du Congo à travers un esprit citoyen doublé d’un devoir intellectuel dépassionné. En clair, nous tentons de démontrer que l’enjeu de cette nouvelle nomination à la Banque Centrale du Congo, sans nier les qualités et les éléments positifs qu’elle apportera dans la gestion financière publique, tient avant tout à une perspective politique visant à satisfaire les conditionnalités du FMI tout en questionnant la tendance vers une « servitude volontaire » de l’Etat congolais. Nous nous situons dans une tradition critique de la dette publique extérieure (Tibor Mende, Samir Amin, Dambisa Moyo, Aminata Traoré, Ladislas Ndikumana, James Boyce, Joseph Stiglitz, CADTM) notamment celle multilatérale en tant qu’outil d’asservissement politique international à l’ordre néolibéral généralement promoteur d’un capitalisme financiarisé dans ses conditionnalités.
Nous allons ainsi axer nos critiques sur le cas du Fonds Monétaire international (FMI) sur 3 points particuliers liant des aspects critiques généraux et des adaptations dans ses rapports au contexte congolais.
1. Le modèle du FMI n’a jamais développé un seul pays au monde et la RD Congo ne fera pas figure d’exception par l’amnésie de son passé récent
Au-delà de la propagande néolibérale, l’analyse qualitative des faits socioéconomiques et politiques autour de la structure de la pauvreté dans les pays du Sud ayant bénéficié des dettes des institutions de Bretton Woods au cours des décennies passées révèle des résultats mitigés voire catastrophiques, s’agissant spécialement des fameuses « politiques d’ajustements structurels » s’agissant de leurs conséquences sociales et leurs perspectives sur le développement[3]. La tendance visant à responsabiliser les mauvais dirigeants, sans nier cette responsabilité, n’est plus suffisante aujourd’hui au regard des réformes imposées aux Etats par les institutions de Bretton Woods qui ont également affecté l’ordre économique interne.
En fait, les politiques du FMI tendent depuis généralement à l’asservissement public vis-à-vis des pays subsahariens en particulier, en partant des politiques d’ajustements structurels dans la fin des années 1980 jusqu’aux programmes de libéralisation imposée des économies publiques subsahariennes début 2000. Les actionnaires majoritaires du FMI et du groupe de la Banque mondiale sont des Etats, puissances et groupes d’intérêts privés directement intéressés à maintenir l’Afrique dans le rôle marginal de fournisseuse des ressources naturelles brutes à l’économie internationale. Ils ne sont pas prêts à perdre un contrôle, jamais, sur les ressources naturelles de ces Etats, ressources qui pérennisent l’équilibre de leurs économies marquées par la surconsommation conduisant à l’inégalité internationale…Le FMI et la Banque mondiale (BM), veillent ainsi donc, d’abord à s’assurer d’un environnement favorable aux investissements occidentaux. S’agissant de la RD Congo, dans ses Mémoires politiques parus en 2020 aux éditions L’Harmattan, l’ancien Premier ministre congolais, Léon Kengo Wa Dondo semble reconnaître à demi-mots cette emprise occidentale dans le modèle du FMI et du groupe de la BM. Ainsi, sa position véhicule une sorte de servitude volontaire envers ces institutions de Bretton Woods en ces termes :
« …Ce que la BM et le FMI proposaient et proposent encore aujourd’hui à nos Etats, ce sont des recettes mises au point après étude minutieuse de tous les paramètres d’un pays. Paramètres économiques, politiques, sociaux, etc. De ce point de vue, leurs conseils sont utiles. Mais, ce que je peux dire sans crainte de me tromper, c’est ce que, si nous ne suivons pas les conseils de ces institutions, nous ne pourrions pas, à coup sûr, attirer les investisseurs occidentaux. Pourquoi ? Parce que, en réalité, ces deux institutions, étant le produit de l’Occident, ont largement contribué à la re-création de celui-ci après la Deuxième Guerre mondiale. Voilà pourquoi les pays occidentaux trouvent dans les conseils de la BM et du FMI des indicateurs plus ou moins sûrs qui leur permettent d’encourager ou de décourager les investissements de leurs ressortissants dans des pays qui, comme le nôtre, croulent sous le poids de la dette, ont le taux d’inflation le plus élevé, voient les prix des produits et services s’emballer et le pouvoir d’achat des ménages s’amenuiser… »[4].
Cette réaction de Léon Kengo Wa Dondo témoigne d’un alignement intellectuel assumé aux politiques du FMI de la part d’un homme d’Etat ayant été qualifié à son temps, parfois ironiquement, « d’homme de la rigueur » durant la décennie 1980 suite à son attachement quasi-dogmatique aux réformes imposées par le FMI. Cette lecture ne répond pas malheureusement aux questions élémentaires de la violence symbolique promue par ces institutions de Bretton Woods dans leur idéologie « d’investisseurs directs étrangers », une idéologie frôlant parfois le chantage institutionnel qui limite toute capacité des décideurs africains vers des alternatives courageuses. Ainsi, le professeur Thierry Amougou rapporte par exemple ces quelques questions des paysans africains qui ne comprennent pas les raisons de leur précarité sociale insupportable et graduelle de décennie en décennie en parallèle d’une hégémonie grandissante du FMI dans les politiques de leurs Etats :
– « Avant que le pays ne devienne pauvre, il était riche, comment tout cela est-il arrivé ? » ;
– « Où est ce que le FMI prend l’argent et comment il réussit à en avoir tout le temps quand notre pays lui est si pauvre ?»[5]
A ces questions a priori banales s’ajouterait l’exclamation d’un autre paysan africain rapporté en Afrique de l’Ouest et qui dénonce des politiques imposées par le FMI dans la privatisation des secteurs publics clés :
– « Mais pourquoi, comme alors, je ne sème pas ? Pourquoi quand je sème je ne récolte pas ? Et pourquoi quand je récolte je ne mange pas ? »[6]
En fait, la plupart des réponses dominantes sur l’origine de la pauvreté subsaharienne tendent souvent à ne fournir que des réponses orthodoxes et conventionnelles qui reproduisent parfois mécaniquement le narratif de l’économie politique dominante mais tout en disculpant la violence systémique de ce narratif. Ce modèle d’économie néolibérale a brutalement imposé aux Etats africains des politiques d’ajustements structurels, des politiques de libéralisation et de privatisation des secteurs publics clés ainsi que des accords commerciaux comportant des termes d’échanges inégaux car traduisant des forts rapports de pouvoir. Ces accords souvent signés sous pressions et conditionnalités extérieures ont accentué la misère en Afrique et en RD Congo en favorisant les « investisseurs directs étrangers » avec une gamme d’avantages fiscaux invraisemblables à l’affût des ressources naturelles qui faisaient vivre d’un côté les services publics par le haut et les acteurs populaires du bas de l’autre côté. Sans nier les responsabilités politiques des décideurs africains (corruption, détournements, etc.), ce n’est pas dans la tendance recourir à la dette extérieure et aux conditionnalités du FMI que les Etats africains vont s’en sortir car le FMI n’a jamais développé un seul pays au Monde. Tout au moins le FMI et la Banque mondiale « maintiennent les pays assez éveillés pour payer leurs dettes, et suffisamment faibles pour rester au stade de sous-développement »[7]. S’agissant du cas congolais qui n’est pas à sa première expérience avec le FMI, l’homme dit de la rigueur, Léon Kengo Wa Dongo en sa qualité d’ancien Premier Ministre revient pratiquement dans ses mémoires politiques, dans une sorte d’aveu d’échec, sur le même constat s’agissant des « fameuses politiques d’ajustements structurels » en déclarant :
« …il y avait dans les politiques publiques de ces institutions [FMI et Banque mondiale] un seul regret à exprimer : c’est que, quelque part, l’aspect social de l’ajustement structurel n’avait pas été prévu dans les programmes d’ajustement structurel. Et ceci – je le reconnais – a eu des conséquences néfastes notamment sur la fonction publique, l’éducation et la santé. On a fait partir des gens sans un programme de reconversion ou de réinsertion sociale. Cela est juste et, jusqu’aujourd’hui, j’en souffre. Cependant, à l’époque, pouvais-je faire autrement ? D’ailleurs, le Zaïre était-il seul à subir ces programmes ? Un grand nombre de pays africains, sinon tous, étaient également englués dans les mêmes programmes. Pourquoi donc singulariser le Zaïre ? En outre, c’est surtout aux Institutions de Breton Woods qu’incombe en premier la responsabilité des PAS car ceux-ci n’avaient pas intégré la dimension sociale du problème… » [8]
Plus de trois décennies après, la RDC, ex-Zaïre est encore en train de rentrer dans cette servitude volontaire alors que d’autres pays subsahariens tels que le Ghana, l’Angola, l’Ethiopie ou la Namibie s’en sont émancipés et comptent sur des efforts publics internes sans esprit de facilité de la dette qui entraine avec elle l’asservissement public aux conditionnalités extérieures. C’est ici l’occasion d’analyser les récentes nominations à la Banque centrale du Congo et leur lien avec le Fonds Monétaire international.
2. Nomination d’une ancienne cadre du FMI comme Gouverneure de la BCC : la bonne foi patriotique à l’épreuve de la technocratie financière néolibérale
La nomination de madame Malangu Kabedi Mbuyi est saluée pour rappel par de nombreux congolais fascinés par le C.V hors pair de cette brillante économiste qui a fait ses preuves au FMI comme cheffe de mission notamment dans de nombreux Etats africains comme le Cameroun, le Bénin, le Burkinafaso, etc. Sans nier son droit citoyen légitime en tant que congolaise à aspirer aux hautes fonctions d’Etat, le contexte particulier de sa nomination laisse cependant sceptique sur sa prédisposition patriotique à supplanter les réformes néolibérales issues des conditionnalités du FMI. Point n’est besoin de rappeler que le modèle de la dette en cours de négociation auprès du FMI a influé pour beaucoup au contexte de la nomination à la BCC de madame Malangu Kabedi Mbuyi surtout que l’ancien Gouverneur n’avait pas encore épuisé son mandat de 5 ans commencé en 2018. Dans ce contexte, l’on peut légitimement se demander sur la probable hypothèse d’une dissonance cognitive auquel la nouvelle Gouverneure de la BCC pourrait faire face entre sa vision néolibérale du monde, consolidée par son expérience au sein du FMI et la protection patriotique des intérêts vitaux attachés à la souveraineté de l’Etat congolais qu’elle sert désormais officiellement. Appelée à négocier la dette avec ses anciens patrons du FMI au nom du Congo en appuyant le Ministre congolais des Finances, Nicolas Kazadi, l’on pourrait se demander légitimement après 32 ans de carrière au FMI sur sa capacité à faire tête à cette institution dans sa nouvelle casquette de Gouverneure de la Banque Centrale du Congo. Certains congolais moins sceptiques trouvent plutôt dans cette casquette non pas une menace mais une opportunité en estimant que son expérience à l’international serait un atout pour la RDC car permettant à madame la Gouverneure de mieux négocier avec des acteurs qu’elle maitrise mieux. En réalité, ce qu’ils oublient ce que les relations entre les Etats en général ne répondent qu’aux intérêts indépendamment des casquettes personnelles, seuls les intérêts et les principes priment. Pire, dans le monde capitaliste et financier qu’est celui du FMI qui joue comporte une posture de banquier traditionnel, il n’y a pas de place pour l’émotion moins encore pour les sentiments aussi patriotiques qu’ils soient mais ce sont d’abord les règles du dominant qui s’appliquent.
Ainsi, sans pour autant limiter un tel débat des principes aux casquettes personnelles, c’est d’abord un problème de vision du monde et de paradigme socioéconomique qui en réalité semble se poser ici et donc la casquette patriotique de la nouvelle gouverneure devra composer avec les conditionnalités néolibérales. Trop d’espoir créera trop de déception pour ne pas voir émerger une nouvelle « femme de rigueur » à l’instar de Léon Kengo Wa Dongo, « l’homme de rigueur » des années 1980-1990 mais dont la rigueur n’a pas changé grand-chose aux conditions sociales des populations zaïroises. C’était en fait une « rigueur » piégée à l’avance par un paradigme économique inopérant pour les intérêts locaux mais orienté à faire des interlocuteurs locaux les fidèles élèves des injonctions extérieures. En fait, la RDC semble aujourd’hui retomber dans un cercle vicieux des années 1980 face à cette nouvelle tendance vers l’accumulation des dettes extérieures notamment celles du FMI dont les conditionnalités de remboursement affecteront nos enfants et petits-enfants alors que le pays avait déjà relativement atteint le point d’achèvement de la dette extérieure au cours de la décennie passée à travers le programme humiliant de PPTE[9].
Le FMI va accentuer par ses nouvelles conditionnalités un contrôle délégué sur l’ensemble de nos ressources, de notre monnaie, de nos actifs et de notre passif et par conséquent une émasculation de notre souveraineté. La nouvelle politique extérieure de la Banque Centrale du Congo sous la houlette d’une ancienne cadre du FMI conduira tout simplement à accenteur la servitude volontaire de l’Etat, politiquement parlant, car la monnaie est la plus grande manifestation de la souveraineté d’une nation et en matière de politique monétaire la vision socioéconomique est plus importante que les acteurs appelés à la mettre en œuvre. La bonne foi patriotique est donc à l’avance piégée par la technocratie financière. Céder aux conditions du FMI comme s’il manquait d’autres alternatives internes dans le redressement de l’économie publique, témoigne soit d’une faiblesse politique, soit d’un refus à tirer les leçons des échecs passés liés à la turbulence de la dette, soit encore à prendre volontairement position pour les puissants contre notre propre peuple condamné à payer cette dette avec ses intérêts alors que les investissements que la dette financera risquent de ne pas profiter à tous les congolais.
3. Actualité de l’esprit impérialiste de la Conférence de Berlin, Contrôle public néolibéral et tendance à la coopération multilatérale en position de servitude volontaire
Quand on créa le Congo de toutes pièces à Berlin en 1885, l’objectif affiché par les puissances colonisatrices était d’en faire une vache-lait pour l’économie internationale. Le chapitre premier de l’Acte final de Berlin est formel à ce titre : “liberté de commerce dans le bassin du Congo, ses embouchures et pays circonvoisins”. Ainsi donc, cette liberté n’était pas la liberté des locaux mais d’abord la liberté des « investisseurs » occidentaux en particulier et depuis peu chinois qui se sont manifestés.
En 1960, nos pères de l’indépendance représentés par l’image symbolique de Patrice Lumumba ont réussi à unir leurs forces et en 1964 par le pouvoir constituant à poser les jalons d’une nationalisation constitutionnelle de nos ressources naturelles, rendue pratique en 1966 par le génie du député Bakajika qui posa les bases légales d’une domanialité publique du sol et du sous-sol congolais comme étant une propriété exclusive, inaliénable et imprescriptible de l’Etat. Si la complaisance des élites politiques et le clientélisme mobutiste ont sacrifié ces réformes visant l’intérêt le plus des congolais, elles ne furent pas sur le plan du principe, mauvaises car une indépendance politique sans contrôle des ressources économiques ne valait rien et ne vaut encore rien de nos jours.
Depuis 2002 la RDC, sous motif de renouer avec la coopération internationale, la RDC a commencé le processus inverse dans l’orientation de ses politiques publiques notamment avec les réformes imposées dans les secteurs minier, forestier, des hydrocarbures, des entreprises publiques, etc. En 2021, les conditionnalités imposées par le FMI allant jusqu’à influencer sur les acteurs de gestion publique des institutions publiques telles que la Banque centrale semble témoigner d’un point de non-retour vers la servitude volontaire à l’ordre néolibéral. L’absence d’une vraie vision économique interne et l’abandon progressif depuis la constitution de 2006 de l’option de la domanialité publique conduit progressivement la RDC vers une gouvernementalité extérieure de plus en plus prégnante par les les conditionnalités de la dette extérieure multilatérale en particulier et bilatérale en général. Ces politiques ne visent en définitive qu’à faciliter une main basse sur les ressources naturelles des Etats africains au prix de l’endettement vite fait sans calculer les conséquences à long terme sur la conscience politique nationale. Si nous ne faisons pas attention, l’esprit de Berlin est en train d’atteindre son apogée en RDC, en changeant cette fois de tactique par une nouvelle génération “d’évolués” au service du capitalisme financiarisé et cela de manière décomplexée voire assumée par une position subalterne traduisant une servitude volontaire aux injonctions et conditionnalités néolibérales défavorables du point de vue du paradigme aux intérêts du peuple congolais.
Par JOËL BARAKA A.M. sur https://blogs.mediapart.fr/joel-baraka-am/blog/100721/dette-et-conditionnalites-du-fmi-au-congo-vers-une-enieme-servitude-volontaire?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-66&fbclid=IwAR2voyRDlN2dgG-v8KEJENR4JE43hujnBcYoRzql6fzymx3axjksJWjeh7k
Références
[1] RADIO OKAPI, « Nouveaux dirigeants à la Banque centrale du Congo », in https://www.radiookapi.net/2021/07/06/emissions/dialogue-entre-congolais/nouveaux-dirigeants-de-la-banque-centrale-du-congo, consulté le 08 juillet 2021.
[2] LE MONDE-AFRIQUE, « RDC : une ancienne du FMI nommée gouverneure de la Banque centrale du Congo » in https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/07/07/rdc-une-ancienne-du-fmi-nommee-gouverneure-de-la-banque-centrale_6087324_3212.html, consulté le 09 juillet 2021.
[3] Van der Hoeven R. et Van der Kraaij F., 1995, L’ajustement structurel et au-delà en Afrique subsaharienne, Paris : Karthala, lire les pages 159 à 229.
[4] Léon Kengo Wa Dongo, La passion de l’Etat, Paris : éditions L’Harmattan, page 326.
[5] Thierry Amougou, 2020, Qu’est-ce-que la raison développementaliste ? Louvain-la-Neuve : éditions Academia, page 6.
[6] Extrait du film « Bamako » du réalisateur Sissako Abderrahmane, sorti en France le 18 octobre 2006.
[7] Entretiens avec le professeur Patience Kabamba.
[8] Léon Kengo Wa Dongo, op.cit. page 327.
[9] Pays Pauvre Très Endettés (PPTE).
Le roi est nu,il a échoué, pour lui tout conseil est sagesse